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El Cancionero de Palacio
(1474-1516) |
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Description
Artistes / Performers
Hespèrion XX, dir. Jordi Savall
Lieu d'enregistrement / Recording site:
Collégiale romane du Chäteau de Cardona (Catalogne/Catalunya)
Dates d'enregistrement: juin/juillet 1991
Recording dates: 06-07 1991 Durée totale / Total time: 78'00
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Édition
originale/Original recording
Astrée - 8762
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Appréciation (s) /
Review(s)
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Gramophone-
(02/2001)
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Subscription
Abonnement |
Reviewer:
David Fallows
Abridged text:
"Much
of the Palacio music is fairly slender, and the performer has the
difficult choice of whether to present a little piece as an
immaculately judged sliver or to doll it up with repeats and
elaborate reorchestrations. It seems to me that the latter approach
doesn't actually make the music more interesting, merely makes it go
on rather longer than it merits. So the most satisfying pieces on
the Palacio record tend to be the ones treated with the most
restraint: Al alva venid and Si d'amor beautifully sung by
Montserrat Figueras; O desdichado played as an instrumental piece
for three bass viols; Dos anades with its 5/4 patterns ever so
lightly touched in; Pase el agoa, direct and cheerful".
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Diapason- # 380
(03/1992)
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Appréciation
Evaluation |
Abonnement
Subscription |
Analyste: Jean-François
Goudesenne
Texte abrégé:
"... Hespèrion XX nous invite à parcourir ce
chansonnier dans un rythme alterné de trois pages vocales encadrées
par une pièce instrumentale (danse ou adaptation de chansons pour l'alta
capella). La composition du programme est savamment conçue et bien
équilibrée, consacrant une place aux compositeurs les plus
représentatifs comme aux nombreux anonymes. Les genres littéraires
et musicaux sont aussi très variés : villancicos, romances et autres
genres légers de caractère pastoral. On apprécie la maîtrise d'un
jeu instrumental qui, en fonction du caractère de l'oeuvre et de son
écriture rythmique, sait lui donner le timbre et les couleurs
requis. Ainsi cette version nous révèle avec conviction le fonds
populaire et traditionnel qui marque profondément cet art de la
chanson de cour. La vivacité fougueuse de la guitare ou de la
vihuela, la douce langueur des violes, la force éclatante de l'alta
capella (instrument à anches) sont autant de ressources expressives
qui viennent accompagner des voix très colorées, personnalisées mais
bien fondues lorsqu'elles ne sont plus solistes".
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