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     Outil de traduction   | 
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 Analyste: 
Fabienne Bouvet Une 
lumière de vitrail inonde le Prélude de ce programme : profondes, ancrées, les 
basses laissent vite place aux guirlandes de perles mates du registre aigu. 
Est-ce dû à la prise de son, au cordage en boyau ou à l’instrument lui-même – un 
luth à neuf chœurs construit en 2015 par Lars Jönsson d’après un original de 
Magno Tieffenbrucker ? Cette sonorité invite à l’introspection, donne 
l’impression d’un moment volé et plonge dans une douce atmosphère ouatée. Loin 
de Bor Zuljan, qui timbre son luth près du chevalet pour en extraire toute la 
bile noire (Ricercar, CHOC, Classica   | 
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