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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérôme Medelli À travers une sélection de titres emblématiques, tels le Lamento d’Arianna et « Disprezzata regina » du Couronnement de Poppée, l'ensemble Cappella Mediterranea nous transporte à Mantoue. Sans la transgression jazzy d'une Christina Pluhar, l'Ohimè ch'io cado swingue tout de même. Il manque toutefois, pour le Lamento de la Ninfa, l'engagement du surprenant disque Monteverdi‑Piazzolla (Ambronay, 2012), dans lequel le couple argentin Flores‑Alarcón était soutenu par le souffle d'un bandonéon. Et quitte à oser, pourquoi ne pas faire entendre, dans l'inéluctable Lamento d’Arianna, une transmutation nietzschéenne chez la princesse abandonnée avec, pour changer, « la puissance féminine affranchie, devenue bienfaisante et affirmative » (Deleuze). |
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