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Analyste: Gaëtan Naulleau ‑ Le dialogue des cultures réussit, en revanche aux Witches. La bande à Pascale Boquet a écouté les rythmes précis des musiciens de tradition « populaire » pour rendre aux danses anciennes leur élan vif ancré dans le corps, Odile Edouard a trouvé un lien entre la « petite articulation » propre au violon baroque et Ie rebond qui mène encore le bal dans certaines campagnes. Claire Michon aux flûtes, Sylvie Moquet à la viole, Freddy Eichelberger aux claviers suivent à leurs côtés les recommandations d'un maître à danser anglais en 1675 (« Nobody’s Jig », d'après l'ouvrage de Playford). Le manuscrit modeste d'une certaine Susanne Van Soldt, qui récoltait en 1599 quelques danses, chansons et psaumes, inspirait aux Witches une immersion dans l'univers musical d’une maison flamande au temps du jeune Rubens. Une aventure où la vie quotidienne et la musique se rejoignent. |
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