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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
David Loison
Leur entrée souffre
d'une rigidité peu favorable à la polyphonie et, surtout, les tempos sont trop
lents et uniformes. Les chromatismes du choral BWV 665 «Jesus Christus unser
Heiland» sont pâles. L'incipit du Prélude et fugue BWV 552 n'a pas le
rayonnement attendu et les accents rythmiques prennent une allure mécanique.
L'émotion peine alors à passer. On se consolera avec la sonorité du magnifique
Silbermann de Ponitz, servi par une prise de son des plus claires, que
l'interprète semble avoir eu du mal à apprivoiser. En dehors des grandes
intégrales (Isoir, Foccroulle), on retiendra parmi les interprétations récentes
notamment Masaaki Suzuki (Bis) qui aborde avec élégance les Variations
canoniques. |
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