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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Gaëtan Naulleau L'élégie pastorale nous vaut d'autres accents divins dans « Qual nave smarrita », musique assez simple dont l'artistes renouvelle sans cesse le propos. De Tolemeo, le grand récitatif est construit par un acteur maître de chaque soupir, et suivi par un « Stille amare » assujettissant partout la beauté flatteuse de la mélodie au clair‑obscur de la situation ‑ douleur et soulagement des larmes de Ptolémée, expirant devant son épouse après le verre empoisonné. Cultiver, à fleur de lèvres, une telle variété, n'est guère donné qu'à Jaroussky. L'immense « Ombra cara » pose un tableau symétrique (Radamisto devant la dépouille de son épouse), et cette fois nous laisse sur notre faim, l'écriture offrant à l'éternel jeune homme un costume un peu large, surtout à ce tempo. C'est donc, avec le « Rompo i lacci » de Flavio (parfait), le seul « tube » au programme d'un florilège où le théâtre s'épanouit également par les soins de l'ensemble Artaserse. Premier violon désormais, Alessandro Tampieri met en scène son orchestre avec beaucoup plus de métier que Zefira Valova pour Fagioli. Ainsi David fut vainqueur de Goliath. |
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