Texte paru dans: / Appeared in: |
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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie Celle de Delphine Galou s'impose au premier abord par sa tenue plus que par son volume ou son timbre capiteux. Pour rester chez les contraltos, une Marie‑Nicole Lemieux l'aurait sans doute chanté de manière plus explosive... mais pas sûr qu'elle aurait réalisé ce murmure perché sur la crête de la ligne dans « Prigionier che fa ritorno » de Jommelli. Comme on pouvait s'y attendre de la part d'un maître de l'opéra, le profane fait irruption dans l'église avec le motet In Procella sine stella de Porpora, tandis qu'une écriture plus instrumentale pour la voix se fait jour dans la cantate Lumi dolenti lumi de Torelli. Delphine Galou s'attache dans les deux cas à traduire les affetti sans ostentation, avec une grâce, n'était la thématique explicitement religieuse du disque, qui est l'apanage des grandes artistes. |
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