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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie dans sa ville natale d'Erfurt, où il obtient un premier poste d'organiste, avant de succéder en 1703 à son cousin à la Georgekirche d'Eisenach, où naquit dix-huit ans plus tôt un certain Johann Sebastian, et à Telemann en 1712 au poste de Kapellmeister. Mis à part quelques pièces pour orgue et pour clavecin, seules les quatre ouvertures pour orchestre nous sont parvenues. Datées de 17291730, elles adoptent la forme d'une suite de danses devancée par une ouverture à la française (en trois parties), genre très courant à l'époque puisque illustré aussi bien par Graupner que Telemann.
En conformité avec les instruments en usage dans les cours allemandes, L'Achéron
a adjoint des instruments à vent aux partitions écrites pour cordes seules avec,
dans le cas de l'Ouverture en sol mineur, une partie de violon concertant dans
le style italien. Comme à son habitude, François Joubert-Caillet se distingue
par sa souplesse vis-àvis de la barre de mesures, sa liberté de phrasés adaptée
au caractère des différentes danses que Bach (JS) appelait « galanteries ». Mais
la profondeur n'est pas absente de tel Air où la mélancolie, comme un ombre
fugitive, infléchit pour un temps le (délicieux) badinage. |
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