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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Marc Vignal Mais Alessandro Besozzi est un parfait
inconnu. Il vécut de 1679 à 1755, nous dit-on, mais on a trace d'un homonyme né
en 1702 et auteur de sonates pour hautbois. La Sonate en si bémol, transcrite
pour trombone, du présent CD est-elle de l'un ou de l'autre ? Son style fit
plutôt pencher vers le cadet, mais qui sait ? Nul besoin de présenter Haendel,
mais d'où vient son Concerto en fa mineur ? Transcription bien sûr, mais de quoi
? Pour la réponse, s'adresser un spécialiste du Saxon. Le talent d'Henri-Michel
Garzia n'est pas en cause, mais on comprend mal tant de cachotteries. Et rien
n'empêche de se tourner vers le CD homogène du tromboniste Christian Lindberg
(Bis, 2002), qui joint aux concertos d'Albrechtsberger et de Wagenseil des pages
de Michael Haydn et de Leopold Mozart. On y trouve d'amples renseignements tant
sur ces quatre ouvrages que sur leur probable destinataire, le virtuose Thomas
Gschladt. |
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