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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Seul ce compositeur, dont les symphonies de qualité nous sont bien connues, est gratifié de deux concertos. Celui en ré majeur est moins passionnant, sa virtuosité spectaculaire (que de volutes, de trilles enchaînés...) tourne un peu à vide.
Le concerto de Gassmann est le plus élaboré, avec une évolution structurelle
et harmonique audacieuse, ce qui ne surprend guère venant de l'auteur du fameux
Opera seria magnifié par Jacobs et Martinoty. Si l'oeuvre de Giuseppe
Bonno, Italo-Viennois ayant étudié à Naples, peut être oubliée quand on ne
supporte pas l'excès de crème fouettée et d'arabesques, celle de Georg Matthias
Monn vaut le détour car il s'agit d'une sorte de concerto grosso où le clavecin
tient un rôle au moins égal à la traversière. Sieglinde Grössinger y déploie un
jeu aérien au chant bien articulé, avec une sonorité radieuse. Elle sait aussi
ornementer, varier les phrasés et jouer des rubatos pour tirer le maximum de
séduction de ces pages dont l'originalité n'est pas la vertu première. |
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