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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Malgré sa variété,
le programme concocté par Enrico Gatti ne change pas grand‑chose à cette
impression de platitude. Certes, on est heureux d'avoir deux sonates en trio de
« Petrillo » Marchitelli (notamment la puissante Sonata VIII), violoniste
qui, en 1702, aurait aisément joué un passage sur lequel butait Corelli, et dont
le neveu et élève, Michele Mascitti connut, en France, une notoriété comparable
à celles de Corelli et Vivaldi. L’archaïque Toccata V de Supriani possède
aussi un certain charme, mais l'obscur Cailo nous laisse sur notre faim, et Leo
et Fiorenza restent égaux à eux‑mêmes. |
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