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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie
Plus solennelle, l'oeuvre de Fux, écrite en 1720, fut reprise régulière-ment
lors de cérémonies funèbres de la cour (la dernière fois pour les funérailles de
Karl VI), d'où son appellation de Keiserrequiem. A l'orgue et aux cordes
s'ajoutent la couleur plus sombre de deux cornets, de deux trombones (dont un
solo lors du « Tuba mirum » qui semble annoncer Mozart) et un basson.
L'acoustique très peu réverbérée confère une grande lisibilité aux lignes
polyphoniques. La direction sobre de Lionel Meunier offre une alternative aux
maniérismes de la version Robert Wilson chez DHM. |
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