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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Luca
Dupont‑Spirio Rendez-vous majeur de la handélomanie en Allemagne, le Festival de Göttingen, qui s’emploie à faire vivre les oeuvres rares du génie saxon, revient parfois aux tubes. Captée sur le vif en 2013, cette Water music, sans atteindre la cinquantaine d'exécutants attestée en 1717, réunissait une bonne trentaine de musiciens issus d'ensembles renommés. Pas les plus mauvais, si l'on en juge par la discipline et l'éclat collectifs, ainsi que sur la perfection des timbres individuels. Néanmoins, Laurence Cummings peine à animer cette mécanique de pointe comme à s'échapper d'une pulsation inflexible, en particulier dans la Suite en fa: Andante sans mélancolie, Air sans ivresse, allegros peu souriants. Dans les Suites en ré et sol, mélangées comme souvent pour varier les caractères, ceux‑ci sont à peine plus marqués : si la « sarabande » s'épanche un peu, le Alla hornpipe swingue avec prudence. Les échanges chambristes du Concerto grosso pour deux violons et violoncelle, destiné à l'entracte d'Alexanders Feast, laissent parler la liberté et le naturel.
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