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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction ~ (Très approximatif) |
Analyste: Marc
Vignal
Dans les six Sonates
wurtembergeoises, composées en 1742‑1744 et parues en 1744 à Nuremberg ,
chez Johann Ulrich Haffner, éditeur auprès duquel il avait sans doute été
introduit pas son père, Carl Philipp Emanuel Bach multiplie les effets
dramatiques: points d'orgue, silences inattendus, changements de tempo, etc.
En outre, l'étendue du clavier s'élargit et le discours gagne en ampleur
dans ce deuxième recueil publié, juste après les six Sonates prussiennes.
C'est vrai en particulier de la Sonate en si mineur, la
dernière des six : son Moderato initial est un extraordinaire spécimen de
fantaisie, avec ses relents de récitatif et d'ouverture à la française, ses
phrases qui semblent se perdre, ses ruptures en tous genres.
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