Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: | |
Analyste: Roger-Claude Travers
Les six sonates pour violoncelle de Vivaldi
éditées en 1741 à Paris chez Le Clerc le Cadet surent séduire, depuis l’aube
de l’enregistrement, bien des interprètes. Les vivaldiens d’hier célébraient
Gendron, Janigro (mon préféré !) ou Tortelier. Nostalgie balayée depuis que
Christophe Coin imposa sa vision rêveuse, humble et réfléchie à la fois,
poétique toujours,, que le continuo inventif d’Hogwood, Zweistra et Finucane
égayait un peu. Ni Bylsma, dans deux lectures inabouties, ni Cocset,
divinement soutenu par les Basses Réunies mais à la ligne soliste plus
heurtée que celle de Coin, ne lui ravirent nos préférences.
|
|
|
|
|
|
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD |