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Analyste:
David Fiala
Firmin Caron est une énigme. Seuls quelques
musicologues et musiciens passionnés par le XVsiècle savent que ses oeuvres
apparaissent çà et là dans des manuscrits à partir des années 1460, au
milieu des chansons, motets et messes de Busnois, Ockeghem ou Dufay, comme
si de rien n’était. Ils ont d’ailleurs appris, fort récemment, qu’une vague
piste biographique permettait enfin de le localiser à Amiens à cette
période. Au total, l’oeuvre conservée de cet obscur inconnu représente pas
moins de trois heures de musique, soit ces trois disques gravés par le
quintette autrichien à voix d’homme de l’ancien chanteur du Hilliard
Ensemble, John Potter. |
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