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Analyste:
Ivan A. Alexandre S’il reste un domaine peu exploré du legs inépuisable que nous laisse le Great and Good Mister Handel, c’est bien sa musique d’église. Notamment la quinzaine d’anthems écrits pour la Chapel Royal. On comprend d’ailleurs mal pourquoi les choeurs s’obstinent à jeter leur dévolu sur les Chandos Anthems, pièces de solistes destinées à la petite chapelle de Cannons dont le jeune Handel fut un temps Kapellmeister, plutôt que sur leurs versions « Royal » dont quelques-unes (I willmagnify thee !) comptent parmi ses plus belles partitions. Retour
donc à trois des onze Chandos Anthems (1717-1718), soumis aux
quiproquos d’usage : choeur (souvent à trois voix, sans alto) au lieu
d’individus; falsettiste égaré sur des lignes de ténor
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