Texte paru dans: / Appeared in:   | 
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| Appréciation d'ensemble:
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     Outil de traduction (Très approximatif)  | 
    
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Analyste:  
Jérémie Bigorie 
Le Poème harmonique bénéficie 
d'un très beau consort de cordes et du basson très sonore de Jérémie Papasergio. 
On n'adhère moins à la marche liminaire des Funeral Sentences  
contrairement à l'usage non reprise à la fin  où le timbalier se livre à une 
improvisation trop dynamique pour un cortège mortuaire. Se serait-il inspiré de 
la relecture de feu Steven Stucky dans sa Music fot the Funeral of Queen Mary 
(1992) ? Le choeur s'impose quant à lui par son interprétation très 
madrigalesque, perforée par de douloureux silences : Les Cris de Paris méritent 
les éloges pour la cohésion des pupitres, le soigné des intonations et la 
conduite sensible des phrasés. Moins homogène, le quatuor de solistes suscite 
quelques réserves : le contre-ténor semble à la peine dans « Here the deities 
approve », ici accompagné au clavecin (on peut préférer le luth, plus poétique) 
; trop affecté, le ténor passe à côté de l'esprit populaire qui anime « Beauty, 
thou scene of love ». A classer à Clarke. Herreweghe (HM), pour Welcome to 
all pleasures, Gardiner (Erato) et King (Brilliant) pour la musique funèbre 
dominent toujours la discographie.  | 
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