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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction ~ (Très approximatif) |
Analyste: Jean‑Luc Macia D'abord on croit rêver. Dans le Premier Concert, les à‑coups rythmiques et les soufflets des cordes accumulés renvoient aux excès des baroqueux de la première heure. Mais leurs lignes étaient‑elles aussi heurtées, et l'écoute si... fatigante ? Excellente formation par ailleurs, le Neumeyer Consort attaque le Troisième Concert avec la même vélocité que Goebel, sauf que les archets n'arrivent pas toujours à suivre. Dans le Sixième, le geste manque d'élan malgré la qualité des cordes. Que retenir alors ? Un Deuxième Concert mené vivement mais sans excès avec un fort bon trompettiste, Jens Jourdan. Cela ne suffit pas à donner une cohérence à la vision de Felix Koch, curieusement éparpillée entre les mille et une manières de jouer le baroque dit informé.
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