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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction ~ (Très approximatif) |
Analyste: Jean‑Luc Macia Vous avez aimé le premier volume (cf.no 632), vous adorerez le deuxième bien qu'il ne dévoile aucun inédit. Les concertos aux instruments solistes divers, domaine d'excellence de Telemann, inspirent toujoure autant Michael Schneider et sa Stagione Frankfurt. Cela nous vaut un disque euphorisant de plus, que la variété instrumentale préserve de toute redite. Le basson (remarquable Marita Schaar) qui, dès les premières plages, dialogue dans la bonne humeur avec deux violons solo, installe un climat d'alacrité qui ne se démentira jamais. Qu'il souffle dans sa flûte à bec ou qu'il tienne la baguette, Michael Schneider trouve le ton juste, le tempo stimulant et la verve qu'exigent ces combinaisons typiques de Telemann (flûte et viole de gambe, ou encore deux flûtes, deux hautbois, deux violons et un alto !) en sachant exalter ces efflorescences de timbres qui chatouillent agréablement nos oreilles.
Comme dans le Volum I, c'est le
pompeux concerto pour trois trompettes et timbales qui nous séduit le
moins. On s'en console avec la partition opposant un violon solo et une
trompette (TVW53ID5) qui clôt le disque sur une note originale. Les friselis
acrobatiques de la violoniste Ingeborg Scheerer et les éclats cuivrés de
Hannes Rux nous donnent un vrai moment de bonheur. Vite la
suite ! |
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