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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie
En guise de respiration entre les motets, Johannes Hämmerle actionne la délicate
soufflerie de l'orgue historique du Château de Gottorf (SchleswigHolstein) dans
des pièces signées de Weckmann, Tunder et du grand Sweelinck. On goûte la
variété des registrations au gré des passages entre un choral transcrit et des
entrées fuguées, comme les jeux de claviers imitant une antiphonie chorale (chez
Tunder). En dépit de leur faible effectif (trois voix au maximum), les motets ne
sont guère avares en contrastes, fondés sur l'alternance entre une écriture en
imitations bourgeonnantes (« Miserere mei, Domine ») ou, au contraire, plus
homophoniques (« Laboravi in gemitu meo »). Les membres du United Continuo
Ensemble, au risque de paraître inhibés lors des vocalises, s'attachent à
préserver un climat intimiste et recueilli qui tient le théâtre à distance de
l'autel. |
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