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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction ~ (Très approximatif) |
Analyste: Bertrand Boissard Ne négligeons pas les qualités de la pianiste française, sa sonorité, ses phrasés homogènes, son élégance. La prise de son flatte un jeu serein. Les pages tranquilles ou contemplatives (l’Andante du Concerto italien, le prélude de la Partita n° 1 ... ) ont leur charme. Mais d'un mouvement à l'autre, comme tout cela est uniforme ! Dans le Capriccio, partition de jeunesse atypique, la dynamique restreinte et la joliesse galante gomment les reliefs des tableaux par lesquels Bach prend congé du « frère bien aimé ». Mal assuré, l'énoncé de la fugue finale évoque tout sauf le « cor de postillon » sonnant le départ de la diligence.
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