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Analyste:
Jean‑François Lattarico On avait pu apprécier les qualités de Ferri‑Benedetti l'an dernier à Versailles et à Nice dans la résurrection de la Didone de Hasse et du Tigrane de Scarlatti, où il tenait le rôle‑titre. On pouvait de nouveau goûter sa belle voix flûtée en janvier à Londres dans l'Isipile de Conti, partition qu'il a lui‑même éditée. Voilà un contre‑ténor
au chant limpide, agile et attentif aux moindres inflexions du texte
poétique. Il est en outre soutenu par un jeune ensemble
(des anciens de la Schola Basiliensis) dialoguant en parfaite symbiose. Il
Profondo fait valoir un réel talent de coloriste dans la sonate en trio de
Locatelli, à la verve toute corellienne, hors‑d’oeuvre savoureux à ce menu «
académique » qu'on aimerait voir servi plus souvent. |
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