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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie
L'effectif
instrumental se distingue par sa générosité, avec la présence notable de la
harpe dans Tirsi e Clori, mais sans les outrances de Christina Pluhar (Erato)
transformant le fameux « Chiome d'oro » en walking bass. Pour autant, la mue que
réclame le dernier livre semble restée à mi-chemin ; est-ce parce qu'on a trop
Rinaldo Alessandrini (Opus 111) dans l'oreille qu'un léger déficit théâtral
s'installe à l'écoute du Combattimento ? Le style concitato pourrait être plus
enlevé, les soupirs consentis par Clorinde moins empruntés. Vrai moment de grâce
cependant : un Lamento de la ninfa à pleurer, grâce à Hannah Morrison. |
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