Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction ~ (Très approximatif) |
Analyste: Michel Laizé
L’équipe anglaise aborde
(...)
les Brandebourgeois pour fêter un anniversaire, le vingt‑cinquième
(de Florilegium). A
l'inverse du Concerto Köln, véritable orchestre, Florilegium est
fondamentalement un groupe chambriste qui renforce ses troupes pour
l'occasion. Les dialogues s'empâtent dans un son souvent gras, et pas
toujours juste (mouvement lent du Concert no 2). Les tempos sont
confortables là où on pourrait souhaiter un peu plus d'alacrité et le rendu
parfois brouiliIon (Concert no 6). Les Concerts no 3 et 4
sortent du lot par leur jovialité simple, colorée d'explosions de virtuosité
qu'apportent les musiciens à l'écriture de ces pages à la clarté évidente.
Le Concert no 5 est habilement mené avec un soupçon de maniérisme
bizarre dans la cadence de clavecin, et mieux enregistré que dans la version
du Concerto Köln. Signalons une notice des plus intéressantes quant à
l'histoire de la conception de ces concertos.
|
|
|
|
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD |