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Appréciation d'ensemble: | |||||||
Analyste: Harold Lopparelli
Les trois Suites publiées en 1737 par Charles Dollé, violiste de Ia génération d'après Marais, ne révèlent pas une inspiration très féconde. Wieland Kuijken avait habilement couplé la Suite en do mineur avec celle en ré majeur de Forqueray pour opposer leurs caractères (Accent). Petr Wagner, dans un album paru il y a dix ans chez Dorian a maintenant repris sous une autre étiquette, préfère jouer tout le cahier de Dollé. ll aborde sa musique sans vraiment profiter de ses modestes qualités : son Tendre Engagement n'a rien de tendre, les rondeaux sont trop sérieux et lourds, les sarabandes forcées... ll y avait pourtant quelque chose de plus captivant à faire du Tombeau de Marais le Père, qui supporterait plus de drame, de la fantaisie La Clausié ou de I'allemande La Fière. Mais le Carillon final, qui s'accorde bien au jeu direct et sans nuances de Wagner fit son effet
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