Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: | |
Analyste: Sophie Roughol Moins solaire, le Te Deum de 1698 était révélé jadis par Hervé Niquet. Choeur à cinq parties là encore, mais orchestre à trois, qui trouve pourtant de somptueuses couleurs (trio de basses avec basson « Tu devicto ») et des sections rythmiques jubilatoires aux cordes de Passions revigorées - c’est sans doute le meilleur disque de l’ensemble toulousain. Andrieu évite une rhétorique trop dramatisée, et donne à Gilles une densité très personnelle, prosodie précise dans des tempos modérés, prononciation restituée sans caricature. L’éloquence ciselée par les quatre solistes, notamment un Vincent Lièvre-Picard radieux, répond à la vitalité efficace des Eléments. |
|
|
|
|
|
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD |