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Appréciation d'ensemble: | |
Analyste:
Jean-Luc Macia Des concertos pour la plupart inédits et qui se ressemblent beaucoup par leur brièveté (moins d’une heure pour les sept partitions), leur structure da chiesa en quatre mouvements, et leur inspiration très italienne. D’où une relative impression de monotonie, d’autant que Telemann n’y est peut-être pas à son meilleur : quelques formules (traits saccadés, basses univoques, développements lapidaires) séduisent un temps mais sont trop ressassées. Cela s’arrange à la fin de l’album, grâce aux effets vivaldiens des concertos pour deux puis quatre violons. Surtout, on rend les armes devant le jeu solaire, enjoué et idiomatique d’Elizabeth Wallfisch qui, on le sent, aime ces oeuvres et veut nous convaincre avec son petit orchestre enthousiaste quoique pas toujours bien en place. Les fans de Telemann s’en accommoderont sans regret ; on conseillera aux autres de s’en tenir aux deux volumes précédents, notamment le quatrième pour ses concertos-Suites plus originaux. |
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