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Analyste:
Philippe Venturini « La plupart de ces
pièces font leur effet à deux clavecins, I'un jouant le sujet, l'autre la
contrepartie " indique Gaspard Le Roux dans la préface de ses Pièces de clavecin
publiées en 1705. La musique a non seulement gagné en souplesse, en lyrisme, en puissance expressive mais aussi en splendeur sonore. La prise de son, admirable de naturel, d'Hugues Deschaux qui joue avec habilité de la réverbération d'une église, fait resplendir cet "iimmense clavecin" , (Justin Taylor) et cette musique d'un «symphoniste" (William Christie). Le cadet à la partie supérieure, l'aîné à la «contrepartie", les deux musiciens entretiennent une éloquente « Conversation où la demi-teinte de la mélancolie (Sarabande grave de la Suite no.1, Allemande grave de la Suite n'5) a remplacé l'éclat du Grand Siècle.
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