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Analyste: Frédéric Degroote
William Byrd et sa Mass for five voices concentrent la dernière fournée des Gesualdo Six. La formation chambriste masculine d’Owain Parks donne à l’œuvre un aspect discret, intime, sans doute en adéquation avec le caractère secret qu’elle revêtait – l’époque était très hostile au catholicisme dont cette messe et son auteur se réclament. Dans les motets glissés en complément, les entrelacs harmoniques de l’ Ave verum et l’expressivité stupéfiante du Circumdederunt qui captent l’attention, offrant un visage plus complexe de Byrd, à l’image de leur écriture contrapuntique
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