Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Outil de traduction |
|
Analyste: Jacques Meegens Les Lantins (cf. no 645), Tinctoris (cf. no 660 ) et Lymburgia (cf. no 683) hier, aujourd'hui Johannes Martini : un autre maître oublié du XVe siècle vient étoffer la discographie du Miroir de Musique, qui fait de ces redécouvertes son fer de lance. Baptiste Romain convoque un effectif plus conséquent qu'à l'accoutumée - six chanteurs et six multi-instrumentistes - pour explorer l'œuvre de cet éminent contemporain de Josquin, qu'il côtoya en 1474 à la chapelle de Galeazzo Maria Sforza, duc de Milan.
Si le bouquet
de vingt-quatre pièces choisies illustre bien la diversité de l'ample production
du compositeur, il n'en respecte pas les proportions. L'ensemble bâlois met
clairement l'accent sur les chansons, qui occupent les deux tiers du programme
mais ne constituent qu'un tiers de l'œuvre de Martini, derrière plus d'une
centaine de psaumes, hymnes, motets, messes et autres Magnificats. |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews