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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste: Philippe Ramin IL EN PINCE POUR LUI De Haendel à Boutmy, Korneel Bernolet et le clavecin Dulcken semblent faits I'un pour I'autre.
Claveciniste et chef très actif en Belgique et aux Pays-Bas Korneel Bernolet reste peu connu en France: nous ne saurions trop conseiller de prêter une oreille à son superbe Pygmalion de Rameau (Ramée, 2019) pour saisir l'envergure de I'artiste. Ce « Grand Tour » présente le clavecin allemand Dulcken du musee Vleeshuis, à Anvers, dont le claveciniste est 1'heureux musicien en résidence, au gré d'un programme de pièces écrites autour de 1747, année de fabrication de l'instrument mais aussi des créations de Judas Maccabée de Haendel, de La Dauphine de Rameau et de L’Oftande musicale de Bach. Le claveciniste a étoffé ce florilège de pièces de Forqueray parues en 1747 , de deux sonates contemporaines de Scarlatti et de deux suites du Flamand Boutmy au langage très français.
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