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Analyste: Jean-Christophe Pucek Avec l'Ensemble 1684, le même chef (Gregor Meyer) propose un florilège de concerts sacrés de Johann Rosenmüller (1619-1684). Aidé par des chanteurs plus en voix (Ego te laudo met toutefois les sopranos en péril), il rend éclat et sensualité (Confitebor) à ces œuvres pétries d'italianité. À défaut d'être complètement épanouie, cette réalisation a le mérite de faire sentir qu'elle repose sur un solide socle germanique ( Nunc dimittis ). |
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