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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste: Philippe Venturini Stéphanie Paulet et Élisabeth Geiger confient des « envies d'expérimentation, de re-lectures de musiques déjà connues » et recourent à l'arrangement, pratique parfaitement conforme à l'esprit baroque. La Sonate,BWV 1021 concentre alors sa basse continue dans l'orgue, instrument auquel Bach avait destiné sa Sonate BWV 528: simple jeu de bascule entre trios. Trios également dans les Sinfonias que connaissent les apprentis pianistes et clavecinistes. Rien de surprenant et ni d'illogique dans cette entreprise parfaitement assumée par un violon éloquent et un orgue toujours à l'écoute, soucieux de réussir le dialogue (Andante de BWV 528 en apesanteur). Plus étonnants mais pas moins convaincants se révèlent le Choral Nun komm, der Heiden Heiland BWV 659, à la claire élocution, et la Partita pour violon seul n°1 agrémentée d'une partie de clavier suffisamment bien pensée pour ne pas plomber le duo (Double de l'Allemande). De justes « intuitions » en quelque sorte.
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