Texte paru dans: / Appeared in:
|
|
Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie
Les rôles de méchants sont
tenus haut la main par Renato Dolcini et Anthea Pichanick, dont Ie timbre
androgyne investit par moments le registre bouffe. Emmanuelle de Negri se sort
avec tous les éloges d'une partie exigeante reposant sur la conjonction de
lamentos et d'airs de bravoure. Ses grappes d'ornements cachent autant de
raisins pourpres qui ont l'âpre saveur des souffrances consenties - n'y
manqueront pas les figuralismes de rigueur sur« Il est doux de mourir ». Un
ensemble de cordes, avec l'appoint d'un orgue et d'un basson, suffit à Thibault
Noally, qui dirige de son violon, pour magnifier le contrepoint fluide de
l'écriture et modeler des atmosphères contrastées. |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews