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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Bertrand Hainaut Le titre « Sant' Angelo » fait un clin d'oeil au théâtre qui accueillit la création de LOlimpiade, d'où sont tirés les deux premiers mouvements. Dans « La Fenice », l’Adagio, retient particulièrement l'attention lorsque la clarinette se lamente sur une basse de chaconne. C'est aussi à Giustino qu'emprunte l’Andante d’« Il Mezzetino », en référence au personnage de la commedia dell'arte qui s'accompagne à la guitare. Sur un tapis de pizzicatos, le comédien-danseur qu'est également Martin Fröst est dans son élément : une fougue chorégraphique que partage avec lui le Concerto Köln dans la Sinfonia du même Giustino. Si ces concertos sont de pure invention, Vivaldi a bien utilisé le chalumeau pour accompagner la voix, comme dans l'air de Juditha triumphans ici chanté au violoncelle par Alexander Scherf et rebaptisé en italien « La Tourterelle ». Là encore, Fröst n'a pas son pareil pour nous communiquer le charme de l'ancien... avec tout le conforme moderne. |
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