Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Philippe Venturini Confirmation et affirmation : le choeur introductif se montre plus oppressant que dans la version de 1987, comme si la houle des doubles croches conjointes des violons et les dissonances des bois annonçaient le drame à venir. Le Reniement de Pierre se montre également plus péremptoire, les interventions de la foule à la fois plus ironiques (nº 21b) et plus agressives (nº 19b) et le tempo souvent plus allant. il n'est pas certain que Dorothee Mields et Damien Guillon fassent respectivement oublier Barbara Schlick et Andreas Scholl mais Maximilian Schmitt compose un Évangéliste d'une fière éloquence. John Eliot Gardiner (Soli Deo Gloria, 2003, CHOC, Classica nº 132) et René Jacobs (Harmonia Mundi, 2015, Classica nº 183) restent maîtres du théâtre. Mais Philippe Heireweghe demeure d'une impressionnante hauteur de vue. ï |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews