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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jacques
Meegens Deux vièles, un luth et un traverso soutiennent avec finesse deux sopranos et un ténor dans le contrepoint enchevêtré de ces chansons courtoises et mélancoliques. Si la fougue du jeune ensemble bâlois marquait ses deux premiers disques, le troisième apparaît moins audacieux. Loin de la théâtralité de « Parle qui veut » (Diapason d'or de l'année 2018), l'interprétation atteste néanmoins une riche palette expressive. De la sensibilité délicate de Je ne fays plus à la déclamation sévère de Helas, l'avoy je desservy, d'une intensité saisissante, de la douceur presque maniérée de J'ay pris amours à un Henri Philippet curieusement martial, Sollazzo est maître de ses effets et signe une anthologie fermement construite. |
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