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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Philippe Venturini À la vingtaine de minutes de cette cantate succède l'heure de La Descente d'Orphée aux enfers, opéra miniature conçu pour Mademoiselle de Guise. À nouveau, Reinoud van Mechelen surpasse ses prédécesseurs, y compris les plus notables, tels Paul Agnew (avec William Christie, Erato, 1995), Robert Getchell (avec Sebastien Daucé, Harmonia Mundi, 2016) et Cyril Auvity (avec Ronan Khalil, Glossa, 2017). Le haute-contre convainc par sa maîtrise de la langue, de l'élocution, de l'éloquence et bouleverse par ce chant certes sophistiqué, nourri de mille nuances, mais jamais maniéré, Les autres rôles ne se hissent pas toujours à sa hauteur mais « quel coeur de rocher ne se laisserait pas toucher aux tendres accents de [s]a plainte ?» comme chante Proserpine.
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