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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Olivier Fourés À croire que Sony a décidé de faire défiler chacun de ses jeunes artistes dans Les Quatre Saisons, sous la baguette de Luigi Piovano, avec les Archi dell' Academia di Santa Cecilia. Il y a quelques mois, Anastasiya Petryshak complétait au moins le programme avec deux raretés vivaldiennes dans lesquelles on sentait une réelle implication (cf. no. 682) Rien de tel ici: Les Quatre Saisons, point barre. Passons sur la transcription au violoncelle qui n'apporte rien. Piovano n'a guère plus d'inspiration qu'avec Petrishak, et Luka Sulic se contente de soigner sa carte de visite. Espérons qu'il comprenne vite qu'un artiste se juge finalement en fonction de ses prises de position, de sa force de caractère, de son originalité. Et s'il aime vraiment Vivaldi, une bonne trentaine de concertos pour violoncelle lui tendent les bras. |
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