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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Sigorie À moins de faire tourner les tables, on ne sait trop dans quelle mesure les musiciens ornementaient et variaient l'instrumentation de la basse continue. Il semble avéré aujourd'hui que ce fût bien l'usage, à supposer que le niveau desdits musiciens le permit. À ce chapitre, ces pages ont rencontré des artistes particulièrement inspirés, dont l'interprétation récréative (instrumentation variée, ornementation fleurie) suscite l'enthousiasme. Citons Julia Schröder, un oeil sur les traités et un sens de l'expression adéquate dans les Sonates pour violon (DHM), ou Dorothee Oberlinger, jamais avare de fantaisie aux côtés de son Ensemble 1700 dans les Sonates pour flûte (Raumklang). Autant de qualités difficiles à mettre au crédit de cette version d'Il Rossignolo, dont l'avantage principal réside dans son exhaustivité et ses tempos mesurés. Pour la justesse des phrasés, des modulations et de la pure technique, on trouvera mieux ailleurs. |
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