Texte paru dans: / Appeared in: Naxos 8573899 |
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Appréciation d'ensemble:
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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Pascal Gresset Un autre univers se dessine ici. Après quatre décennies de pratique et de questionnement, Barthold Kuijken demeure celui qui sait surprendre, amadouer et murmurer pour attirer l'écoute. L'au‑delà des notes est suggéré dans la légèreté, l'intimité et la grâce. La présente version du Concerto op. 7 de Leclair illustre le mieux cette recherche où d'autres, plus conquérants, requièrent une adhésion d'enthousiasme. Dans les gavottes de Michel Blavet, le soliste et ses six complices parviennent à évoquer la levée subtile du pas du danseur de cour, tandis que le Concerto TWV51:D1 de Telemann apparaît d'une transparence rare. Le Concerto « Le Grand Mogol» RV 43la de Vivaldi, découvert en Écosse en 2010 ‑ et à ne pas confondre avec le concerto homonyme pour violon, complète les huit autres enregistrés par Barthold Kuijken (Accent, 2010) et apparaît par sa richesse et ses audaces d'écriture, notamment dans le deuxième mouvement, comme l'un des plus réussis de son auteur. |
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