Texte paru dans: / Appeared in:
Linn |
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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie La direction enchante dès la symphonie introductive : John Butt capte d'emblée le tactus dramatique en vertu de son expérience de continuiste et distribue de belles taches de couleurs instrumentales. Farouche partisan du « une voix par partie » chez Bach, le chef se persuade, après avoir écumé traités et documents, que la meilleure option chorale consiste à faire chanter les solistes renforcés au besoin par le choeur d'enfants. Heureusement, la prise de son confère ampleur et éclat à ce qui s'annonçait rachitique. Côté solistes, si la version en concert de Nikolaus Harnoncourt (Teldec), pour ne rien dire de celles de Karl Richter (Archiv) ou de Ferenc Fricsay (Urania), nous ont habitués à des formats plus héroïques, le plateau d'où se détache le remarquable Micah de Jess Dandy se montre d'une belle homogénéité. |
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