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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Denis Morrier Leur construction est assez systématique : une suite de sections contrastées, alternant polyphonies et soli, culmine en un choral final, auréolé de parties de violons volubiles. Si l'écriture fait souvent penser à Buxtehude, elle n'atteint pas les mêmes sommets d'expressivité et d'originalité. L’exécution souffre d'évidentes inégalités. Si les voix de soprano séduisent par leur brillance et leur pureté, les interventions étriquées du contre‑ténor Kai Wessel manquent de souffle et de projection. On peut également déplorer la sonorité acide des violons, et l'allure parfois pataude des trombones. Des pièces instrumentales aux dispositifs variés, de Hainlein, Nicolai, Bertali et Schmelzer, forment un complément de programme bienvenu et sage. |
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