Texte paru dans: / Appeared in: Hyperion |
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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Philippe Venturini Dans un texte de présentation touffu, Mahan Esfahani fait le point sur l'état des sources de ces oeuvres de jeunesse, en conteste les éditions modernes, convoque Mircea Eliade, Quintilien et Thomas Browne, évoque « un carrefour entre l'imperfection humaine et la perfection divine ». Pour mener à bien ce qui se présente comme une aventure singulière, l'artiste a choisi un instrument moderne, construit à Prague en 2018 d'après des modèles de Michael Mietke, contemporain de Bach, assorti d'une table d'harmonie supplémentaire pour un jeu de 16 pieds et d'une joue inspiré d'un Pleyel de 1912 ‑ autant dire un étrange appareil, au moins aussi étrange que la prise de son, confuse et grise, réalisée dans une église.
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