Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Loïc Chahine Ce dernier fournit au château de Dublin un bon nombre d'odes, dont il ne reste souvent que des fragments. La plus longue (1739) fait écho à celle composée la même année par Handel, tandis que Hibernia’s sons, your voices raise , qui ouvre le disque, rappelle furieusement le Rule Britania de Arne. Endossant l’habit de Dubourg, Sophie Gent déploie des merveilles de finesse. Écoutez comme Ciste no stor est finement ciselé, comme il se développe, comme il évite tout écueil ! L’autorité naturelle de la violoniste l’émancipe de toute nécessité de se mettre en avant dans le concerto. L’Irish Baroque Orchestra affiche un certain sérieux, et l’énergie de la basse accentue le charme de Dubourg's Maggot ; mis à l'honneur dans « Now the mingling hosts engage » , le violoncelle et le basson trouvent un écho dans la dynamique profonde des cordes, où s'invite la basse sonore d'Edward Grint. En revanche, le choeur, très restreint, manque de l'opulence qui donnerait l'éclat attendu à l'ode Crowned with a more illustrious light - c'est d'autant plus regrettable que les parties chorales de cette partition secondaire semblent les plus intéressantes - même si le soprano rond d'Anna Devin intéresse l'auditeur dans l'air «Born to glory ». |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews