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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jean-Luc Macia
Dorothee Mields, en 2012, révélait quatre pièces des
Musicalischer Seelen-Friede
(1690 et 1696), la seule publication du très prolifique Johann
Philipp Krieger (plus de deux mille cantates, perdues pour l'essentiel). Klaus
Mertens prend la relève avec cinq numéros pour basse extraits du même recueil,
dont le sous-titre de « concertos sacrés » renvoie à Schütz, mais dont la
découpe (ariosos, récits puis
Alléluia
ou
Amen
volubile) montre l'évolution des styles, une quinzaine d'années
avant les premières cantates de Bach. L'ambiance est généralement recueillie,
voire plaintive, ornée par des volutes des deux violons dans les ritournelles.
Les vers sont souvent répétés deux fois et le
Psaume LXII
(plage 5) en est le plus bel exemple avec l'énonciation saccadée
des attentes du croyant et un jubilatoire
Amen final. |
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