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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
L'édition de 2015, qui contient également trois des Suites pour violoncelle et deux mouvements isolés, trouve ici son premier enregistrement. Roberto Loreggian peut compter sur une écriture spécifiquement adaptée au clavecin, qui s'inspire à la fois de Bach, en ajoutant un contrepoint « volant » très étudié, et de la technique des maîtres français, pour enrichir la résonance et diversifier les sonorités des cordes pincées. Quelle déconvenue pourtant ! Négligeant les fondamentaux de l'expression au clavecin (articulation, dynamique, variété de toucher), l'interprète se fige dans une lecture littérale, qui reste à la surface du langage du transcripteur, au risque de le faire paraître maladroit. Les mouvements lents s'enlisent, les rapides manquent de définition, la Chaconne tourne court dans une réalisation prosaïque. |
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