Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Philippe Ramin Le violon de Marie Rouquié assume l'essentiel d'un discours que prolonge l'ingénieux Yoann Moulin aux claviers. Curieusement, la viole de François Joubert-Caillet demeure en retrait, aussi bien en densité sonore que dans la direction du phrasé. Cette prise de parole inégale peine à dessiner les caractères et les changements de couleurs saisissants que la partition indique sans ambiguïté. On trouvera davantage d'éloquence, de sens dramatique et de magie dans les trois sonates retenues par Stylus Phantasticus (Alpha, 2001) et l'intégrale de Rodolfo Richter (Linn, 2005). |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews