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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Loïc Chahine Le disque avait jusqu'ici oublié ce musicien de la cour du Régent, sur lequel Lautenwerk lève le voie. Animé par le théorbiste Giulio Quirici, le petit ensemble sert les partitions avec un enthousiasme que catalyse un continuo charnu et dynamique. Ainsi, la réalisation apporte des effets peut‑être un peu faciles mais payants, et le théorbe se joint au clavecin dans une aimable complémentarité. Qu'elle a fière allure, cette introduction du Naufrage d'Ulisse, où le basson d'Isabel Favilla s'invite à la fête ! Les danses extraites de L’Himen et l’Amour sont assez bien jouées pour ne pas donner l'impression d'un complément de programme anecdotique. Elles révèlent une veine mélodique charmante, choyée par la violoniste Noyuri Hazama.
Les moyens vocaux de Stefanie True ne
sont pas les plus riches qui soient, et son chant, parfois instable, est pimenté
par des notes ingrates, en particulier dans l'aigu. On relève quelques erreurs
de diction |
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